Lorsque, dans une phrase, [kεl] peut être transformé en [kil], en que lui ou en qu'eux, il s'écrit en deux mots : qu'elle ou qu'elles (qu'elle est équivalent à que elle, qu'elles est équivalent à que elles). Lorsqu'on peut remplacer quand par lorsque ou par à quel moment et dans l'expression quand même, on l'écrit q-u-a-n-d. On l'écrit qu'en lorsqu'il est équivalent à que en.
Exemple : qu'en (lorsque) tu auras lavé ta robe et attendu [kεl] sèche, donne-la à Madame Angèle, quel la repasse à quel moment elle aura le temps.
Je sonne au numéro Un, je d'mande mam'zelle Angèleuh,
RépondreSupprimerLa concierge me répond, mais quelle métier fait elleuh ?
(etc.)
Tenancier, je note que vous chantez pendant les cours. [kεl] honte! Pour votre gouverne, Mam'zelle Angèleuh s'est reconvertie : elle est libraire au numéro neuf, aux dernières nouvelles.
RépondreSupprimerQuelle horreur, une repasseuse qui fait sous le manteau !
RépondreSupprimerQuelque calcul cool qu'il calque à l'école, Cal cale et claque.
RépondreSupprimerPas possible, Mam'zelle Angèle est revenue au neuf ? Nooon !
RépondreSupprimerArD
@ Le Tenancier : vous m'obligeriez en ne me tentant pas de vous répondre qu'il vaut mieux sous le manteau.
RépondreSupprimer@ George WF : et depuis ces six saucissons-ci sont si chers.
@ ArD : Siiii ! Ciel, si ceci se sait !
RépondreSupprimerC'est un scission si ça se sait sur ces saucissons...
RépondreSupprimerJ'espère que les règles du repassage soient mieux respectées que celles de la gramère, parce ki risque d'y avoir des trous (de mémoire)
RépondreSupprimer@ Le Tenancier : combien sont ces soucis-ci ?
RépondreSupprimerSix sous, ces soucis-ci ? Oh là, je préfère les sauts scissions, si.
@ Saravati : ma grand-mère m'a appris à passer, repasser, passer, repasser, passer, repasser. Zut, j'ai un trou !
C'est sot, ça c'est sûr, ces sauts et ces saucissons, si ça se sait... Six sots en session sont ces censeurs sur ces saucissons, est-séant ? Céans, ces séances sont sources à scission.
RépondreSupprimerEt en seize cent seize ?
Marignan fêtait ses 101 ans.
RépondreSupprimerEn seize cent seize, c'est saucisse et saucisson, c'est sensass.
RépondreSupprimerSi si !
RépondreSupprimerAvec des fruits frais, des fruits frits, des fruits cuits ou des fruits crus ?
RépondreSupprimerDes cucurbitacées concassés au cœur des catacombes !
RépondreSupprimerCiel ! Des cucurbitacées concassées ! Et trente-trois gros crapauds gris dans 33 gros trous creux ?
RépondreSupprimerGras, gros et gras qui grasseyent gravement de dragons gradés gris de grappa...
RépondreSupprimerMoons, faites-moi redoubler ce Tenancier, et moi avec tiens.
RépondreSupprimerLe Tenancier redouble déjà ! Quant à vous, mon petit Christophe, passez me voir après la classe. Votre cas est sérieux, mais pas encore désespéré.
RépondreSupprimerEt moi, pauvre pomme, je suis un cas des Hespérides…
RépondreSupprimerC'est l'histoire de ma vie, ça...
RépondreSupprimerAlors attention, car en raison [à force de prendre le métro, je me suis interdit d'employer l'expression "suite à"] d'une faute de frappe dans un récent arrêté ministériel, c'est la totalité des pommes qui vont être expulsées hors de France.
RépondreSupprimerPour une année où il y a des pommes, n'y a pas de pommes, mais pour une année où n'y a pas de pommes, y a des pommes, dirait la fille du paysan. Qui est très sage.
RépondreSupprimerCette chère Hena…
RépondreSupprimerOui, la sagesse d'Hena Sion est réputée.
Hena Sion fut élève ici autrefois, avec son frère Rémi. Deux petits cancres !
RépondreSupprimerM'en fout, je boude. y'a des chouchous, ici.
RépondreSupprimerIci passage de l'âge sage,
RépondreSupprimerTournez la page du partage.
Plage du potage,
Cent reportages
Sans images
Ah quel adage.
Oh le beau page,
Sur le rivage...
Moi j'ai connu sa tante, à Sion.
RépondreSupprimerL'école n'était pas très bien tenue, à l'époque : il y avait des cancres, là.
RépondreSupprimerSierre Sion bien
RépondreSupprimer@ Monsieur le Tenancier et monsieur George WF, on ne dit pas "moi je" on dit "nounou".
RépondreSupprimer@ Mademoiselle Cheno : alors Adria tique lorsqu'elle aperçoit un beau page sur le rivage ?
pour sûr, qui de nous ne circonflexerait-il point , Madame ?
RépondreSupprimeret les garçons sur les belle pages...y'en a dans la classe [kil]
RépondreSupprimerC'est au mou âge qu'on dit "nounou".
RépondreSupprimerQuant (Q-u-a-n-t) au beau page, ce sont de tristes nouvelles qu'il apporte à Lady Malbrough.
Adria et George WF, je constate avec plaisir que vous assimilez la leçon du [kil] et du q-u-a-n-d, mais vous avez vu leur ?
RépondreSupprimerRécré, hop, ça vient de sonner !
Et Tenancier, cessez de bouder derrière votre pile de livres. Ce n'est pas un métier d'avenir, boudeur derrière une pile de livres.
RépondreSupprimerMieux vaut ça que livreur par derrière de piles de Bouddhas.
RépondreSupprimerEuh, sinon, non, M'dame, j'ai pas compris la raison du [kil] dans la phrase d'Adria…
Déconnez pas, je fais ma compta.
RépondreSupprimerGeorge WF, je pense qu'elle voulait simplement dire "y'en a dans la classe [kil]".
RépondreSupprimerEt Tenancier, vous faites votre compta rebours avant l'heure de la sortie ?
Je croyais qu'on pouvait faire ce qu'on voulait, pendant la récré !
RépondreSupprimerSinon, c'est bien ce que j'avais pas compris…
Ayé !
RépondreSupprimerFini !
"L'école n'était pas très bien tenue, à l'époque : il y avait des cancres, là." (George)
RépondreSupprimer"Ayé !
Fini !" (Le Tenancier)
Bon, ça va être un peu tiré par les cheveux, mais j'y vais quand même... Moralité : l'un des tous premiers de la classe a fini de faire Kafka.
Christophe, vous avez un sacré pot, ça va sûrement plaire..
RépondreSupprimerQ-u-a-n-t à vous M'dame, vous auriez pu relever le mauvais usage de "quant à" par George. Je fus un cancre à Sion, je voudrais me rattraper, j'peux ?
Vous pourriez par exemple nous préparer un petit exposé sur la théorie des quantas, ArD…
RépondreSupprimerAh mais c'est que j'ai mon quanta moi, cher ami. Je vais piquer une tête et je reviens !
RépondreSupprimerExcusez-moi, chère ArD, j'ai beau chercher, je ne vois par en quoi George WF a fauté (mais je suis un peu presbyte). Eclairez-moi.
RépondreSupprimerEt remettez tout de suite cette tête à l'endroit où vous l'avez piquée, je ferai semblant de n'avoir rien vu, pour cette fois.
Quant à moi, je pique du nez.
RépondreSupprimerC'est sûr qu'à force de bayer aux corneilles, vous avez dû faire un élevage de mouches tsé-tsé ! Tout comme Le Tenancier, qui m'a tout l'air d'avoir la tête dans le sac.
RépondreSupprimerIl est lassé dans le tact, depuis la tempête qu'il a déclenchée à son corps défendant.
RépondreSupprimerIl est talqué dans le sas ? Seigneur, pauvre petit.
RépondreSupprimerJe le plains autant que ceux qui résident au-dessus de la Côte vermeille, où c'est vraiment pas la merveille (même si la mer veille) : y'a plein de saletés dans Leucate.
RépondreSupprimerVoyons, George WF, voyons, qu'avez-vous fait des leçons de géographie que je vous ai dispensées ? On ne dit pas "au-dessus" mais au Nord. Là où sont les corps ronds.
RépondreSupprimerBah ! che les ai oupliées, fos lezons dizberzées…
RépondreSupprimerEt on ne dit pas "bah" on dit "ach" ! Damned !
RépondreSupprimerBah oui, mais Pierre serait passé à l'as, lui qui vaut pas la Callas…
RépondreSupprimerNi Lucullus, évidemment, contrairement à ce que laisse augurer la blanquette du Tenancier.
RépondreSupprimerLe Tenancier cuisine en classe ?
RépondreSupprimerMerci, George WF. Je comprends mieux pourquoi il se dissimule derrière ses piles. Et, bien que ce ne soit pas chrétien de rapporter, je note.
Je vous rappelle, au demeurant, que nous avons une option "cuisine dans une marmite en fonte adaptable sur toutes surfaces de cuisson" à laquelle je ne saurais trop vous exhorter de vous inscrire. Je vous ferai grâce de la couture.
Le Tenancier vous aura promis une blanquette ?! Ach, l'enfoiré, il en promet à tout le monde!
RépondreSupprimer—
«Quant à» est exigeant du point de vue la syntaxe qui ne saurait se contenter d'être la même que celle qui va avec «concernant, au sujet de». Quant au Tenancier, il devra assurer pour sa blanquette, et non : quant au Tenancier, sa blanquette devra être réussie.
George, dans le métro, ça donne quoi ?
Quant au sujet du Tenancier, bien que vous l'affubliez de surnoms kafkaïens, je pense que le petit a de l'avenir en matière de cuisine à laquelle au sujet de il semble fort attaché.
RépondreSupprimerQuanta George dans le métro, il pédale.
Le solécisme qu'on entend le plus souvent dans le métro parisien, ArD, c'est : « Suite à un incident voyageur… » (euphémisme pour suicide), mais il y a des variantes : « Suite à la présence d'un colis suspect… », par exemple.
RépondreSupprimerM'dame Moons, c'est pas joli-joli de rapporter ! Vous me rappelez qu'il m'arrive souvent de m'adresser à ma propre dentition lorsqu'elle s'interrompt en pleine mastication : « Dent, lâche ou croûte ! », m'exclamé-je alors.