disait le professeur (des écoles) de mathématiques, Pancrace Eusèbe Zéphyrin Brioché, à la veille des vacances.
Pancrace Eusèbe Zéphyrin Brioché est un nouveau collègue.
C'est étonnant, depuis le passage de l'inspecteur, il semblerait qu'il y ait sur l'école une petite brise, un vent, que dis-je, un vent, une tempête joyeuse, un doux zéphir de Canterbury Northwester et d'Euroclydon, des bouffées entêtantes, infusantes et inoculantes d'anémélectroreculpédalicoupeventombrosoparacloucycle.
Pour cette fois, il est autorisé de souffler.
Encore un coup de la bonne de Zephyrin Xirdal !
RépondreSupprimerZéphyrin Xirdal ? Sa bonne en est encore à essayer de faire un ragoût de cheval (avec les ailes, c'est meilleur) ! Cela dit, la maîtresse a une nette préférence pour la trigonométrie sphérique et les β pis.
RépondreSupprimerCe nouveau professeur : du vent ?
RépondreSupprimerPancrace Eusèbe Zéphyrin, kalepomentaneïnomineïologiste émérite, brasse effectivement beaucoup d'air (de rien).
RépondreSupprimerJe crains qu'il n'abuse de Lopadotemakhosela khogaleokranioleipsanodrimypotrimmato silphiokarabomelitokatakekhymenokikhlepiko ssyphophattoperisteralektryonoptekephall iokinklopeleiolagōiosiraiobaphētraganopterygon !
J'ai jamais rien compris à l'école et aux équations. Et à tous ces machins qui n' m'ont jamais été d'aucune utilité pour trouver l'amorce du fil qui ouvre le cellophane des CDs. Comme quoi.
RépondreSupprimerLa maîtresse confond souvent aussi l'emballage des CD avec ceux de la Vache qui Rit, du Samos 99 et autres préparations laitières !. Elle a même essayé la clé de 12.
RépondreSupprimerPEZB le nouveau nominé dans l'armée des chiffres a été rebaptisé par les cancres (si si il y en a encore !) Petite équation zans brio !
RépondreSupprimerIl y a comme des relents de C.W.dans cette recherche lexicale ou me trompe-je, mam' Moons ?
Je serais donc partie d'ici pour en arriver là ?... Curieux, curieux...
RépondreSupprimer:-)
Votre "ici" et "là" est rassurant. Me d'mande si j'vais pas r'doubler moi...
RépondreSupprimerNe redoublez pas d'efforts dans ce cas, mon petit Christophe. Vous serez sur la bonne voie. Et en insistant un peu, pourquoi ne pas tripler ? C'est toujours bon d'approfondir ses connaissances.
RépondreSupprimerPégase et Icare, solution d'une équation à deux inconnus ! C'est bon M'dame ?
RépondreSupprimerFrédérique, voyons, deux inconnus, Pégase et Icare, ça relève du fantasme. Mais tu brûles. Une bête à pis égale une bête à ailes. Et au bout du compte, pi égale un. Il suffit (donc) de simplifier...
RépondreSupprimer@ tous : il suffit de prouver que pi = 1 en partant du postulat cheval = oiseau. C'est simple allez les petits, au boulot !
RépondreSupprimerCes écoliers, non manipulés, n'ont donc pas bloqué leur école et laissé entrer l'inspecteur des travaux finis.
RépondreSupprimerL'Education nationale est enfin revenue dans la droite ligne.
Il faut croire, Dominique, que ces petits sont à bonne école ?
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