2 octobre 2010

r2DACTIOB

aLORS, hier ON a décidé D4ALLER  dan les bois. aveC MA MERE ET MON P7RE 5MA SOEUR 2TAIT restée A LA MAISON. ELLE sait pas A  Quoi elle A 2CHAPP2 !
ON A RENCONTR2 UN  bonome, avec des droels de GODAS et une KAN (et DES gR)s zieu et un piti né. Dézieu en dehors de sa t^te (ah, voilà !). Cété pire que ROCOUËL et qu'allo ouine.
Il a dit : Toiché ma boz, toiché ma boz, mon saigneur Monsieur Le Comte.
On a ru  LE TAN DE SE sauvée. UN VARI maitrzcl, mais UNS VRAI MIRacl !
Depiis je SUIE toubisar.
Cétou.
Achille Talon

9 commentaires:

  1. "Touchez ma bosse, Monseigneur, touchez ma bosse !..."
    Mais point ne sachions où elle se trouvait sinon que dans l'expression d'une vive animation. Madame la marquise s'abîma alors dans quelques transports qui firent grand dommage à ses hardes dans le toucher de ce qui ne fût certes des écrouelles.

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  2. Madame la Marquise était certes sous le choc. On le serait à moins (imaginez : toutes ces touches !). Mais tout de même pas jusqu'au point de proposer la botte à Nevers.

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  3. Je ne peux, Monsieur, m'empêcher de déplacer ce "s".
    Achille Talon, cuistre.

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  4. Fi Madame, qui m'obligeâtes à jargonner l'anglois, je vous prie d'user de cette consonne sinueuse comme il vous agrée.

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  5. La maître S vous remercie de votre gentille S, Feuilles d'automne. Vous êtes nouvelles ?

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  6. Je suis consterné...

    (C'est qui Le Tenancier ?)

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  7. Mon petit Christophe, Le Tenancier a certes quelquefois des saillies intempestives, je vous l'accorde. Je lui devine, tout comme vous, et tout comme à vous, de grands moments d'énervement à savoir de quel côté va bien vouloir ce tourner cette esse capricieuse.

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