La classe est une espèce de genre, en quelque sorte.
Le genre est une sorte d'espèce, mais où se classe-t-il ?
Pour autant, les sortes sont-elles des espèces ?
Et les classes, des genres ?
Le genre peut être considéré comme un type du genre individu de la classe, un extrait de catégorie antédiluvienne.
C'est les vacances.
La classe est une espèce de genre de sorte.
En somme, l'espèce est à la sorte, ce que la classe est au genre.
RépondreSupprimerEn quelque type (au graphe).
RépondreSupprimerLa lutte des genres a remplacé la lutte des classes, c'est un type qui l'a écrit : Georges Profond, "Genres, rage et agitation" (éditions du Gouffre, 2004).
RépondreSupprimerQui bien sûr a été diffusé sous le manteau ?
RépondreSupprimerUne espèce de genre de sorte qui ressemble à une sorte de genre d'espèce. Tout cela est parfaitement clair.
RépondreSupprimerParmi les espèces, on classe des bons genres et des mauvais genres. Mais que cela ne sorte pas d'ici !
RépondreSupprimerTout ça ne sortira pas de la classe, à moins qu'un sale type...
RépondreSupprimer« T'as qu' six Nomi », me disait l'autre jour un ami qui inspectait ma discothèque. Il se trompait, naturellement, puisqu'il n'existe que quatre albums (dont un posthume) de ce chanteur.
RépondreSupprimerEn tout cas, quelle classe, ce billet ! De plus, ça donne un genre…
Quand même un drôle de genre votre Nomi !
RépondreSupprimerGlissons, M'dame, glissons — comme l'autre au pays des merveilles…
RépondreSupprimerAh, et dites donc, Dominique, à propos de cochoncetés… il n'aurait pas joué chez Gerard Damiano en 1972, votre Georges Profond ? En tout cas, j'espère que vous nous préparez une notice chez le Tenancier à propos de cet ouvrage…
Il n'y a pas qu'en 1929 qu'la hausse n'omit pas de sabrer les pauvres.
Noticez, George : nous n'en sommes pas encore, ce me semble, dans notre apprentissage de l'alphabet, à la lettre O.
RépondreSupprimer