Après avoir voyagé de mètre pliant en équerre à angle ou double onglet (voire en fausse équerre), de compas qui trace des cercles en trusquin qui trace des parallèles, de pied à coulisse dans son épaisseur en égoïne à large lame, à dos, sauteuse ou circulaire, à guichet pour lui débiter des baguettes au petit déjeuner, après s'être frappé de marteau, de massette et de maillet, frotté aux râpes plates ou demi-rondes pour l'amincir et à un rabot pour l'aplanir, il décida de se mettre à niveau.
Et de ne plus réfléchir plus loin que le bout de son nez.
Tu as oublié les tenons et les mortaises.
RépondreSupprimerMais, il n'y tient pas sans doute ...
Le petit a tenu à garder la souplesse de ses articulations. Ce qui lui a réussi, ma foi : il a plutôt bonne figure à près de 130 ans !
RépondreSupprimerMalgré ses filoches et ses pieds en vielles !
RépondreSupprimerMalgré tout, son œil ne part pas en vrille, pas plus que son nez n'est tarabiscoté.
RépondreSupprimerJ'ai lu hier cette formule, mais je garde secrète la source (en vertu de la loi du 4 janvier 2010) :
RépondreSupprimer"Ne pas confondre le rabot des niches avec le nabot des riches".
L'anarchiste lime les noix :-)
RépondreSupprimerSans vouloir pinailler, paraît qu'il fallait le garder à l'œil, le Pin-occhio.
RépondreSupprimerMais je le préfère nettement à son douteux cousin chilien, dont le hochet a brisé tant de vies.
Le pin-hochet est une variante agressive de ce pseudo-jouet ! De plus, il est ignifuge même quand il met le feu aux poutres !
RépondreSupprimerYo-yo : Pinochio,
RépondreSupprimerhu-hu : ...
Cela dit, j'aime beaucoup la version de Gotlib, qui est une belle histoire morale, en plus.
Comme Blanche-Neige et les sept mains.
RépondreSupprimerIl y a beaucoup à dire sur la salacité de la version Disney de Blanche Neige.
RépondreSupprimerParticulièrement la version 1937, où sept personnes de petite taille, affublées de bonnets pointus, reprennent en cœur Whistle While You Work. C'est proprement indécent !
RépondreSupprimerNains portent quoi ?
RépondreSupprimerMoi, j'aimerais bien retrouver la B.O. française du film de Comencini de 1972.
De l'entêtante chanson du générique, je ne me souviens que de ces paroles :
De bois, de bois, mais c'est une ficelle…
Avec le fabuleux Nino Manfredi, Gina Lollobrigida. Le gamin était assez agaçant.
RépondreSupprimerPour la BO, vous pouvez tenter par là, mon petit George W : http://www.cdandlp.com/product/1/114360970/fiorenzo-carpi-les-aventures-de-pinocchio.html. La maîtresse ne sait toujours pas faire les liens !
http://ja-jp.facebook.com/group.php?v=wall&viewas=0&gid=19321839336
RépondreSupprimerCe petit a bien grandi...
na !
RépondreSupprimerBref, pas bien gras le lien, mais lien il y a.
RépondreSupprimerVoilà qui fait faire un grand pas à l'humanité...
Un jour, Blanche-Neige a posé ses fesses sur le visage de Pinocchio puis lui a dit : "Petit pantin, raconte-moi un mensonge." Plus tard, on la vit atrocement souffrir; elle avait en effet une épine sur la langue.
RépondreSupprimerC'est une histoire pal-pal-ble…
RépondreSupprimerBravo, M'dame, pour les liens ! C'est bien, de savoir apprendre de ses élèves…
@ Christophe Le péché possède beaucoup d'outils, mais le mensonge est le manche convenant à tous. Et de toutes manières, il n'est pas bon d'aller fourrer son nez dans les affaires des autres.
RépondreSupprimer@ Merci, mon petit George W, vous êtes un sucre d'orge.
Vous voulez dire : "un sucre d'George", M'dame.
RépondreSupprimerRésumons-nous :
RépondreSupprimer@ Christophe : Le péché possède beaucoup d'outils, mais le mensonge est le manche convenant à tous. Et de toutes manières, il n'est pas bon d'aller fourrer son nez dans les affaires des autres.
Mon petit George W, vous êtes un chou !
Maîtresse Moons - oui, bon, je sais... -, figurez-vous que j'eusse préféré lire "Résumons :" plutôt que "Résumons-nous :".
RépondreSupprimerVous avez raison, mon petit Christophe : simplifions l'équation.
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