Après la pluie de ces derniers jours, on ne peut que sécher le cours de gym. Je suggère de le remplacer à l'heure qu'il est par un thé à la menthe et quelques cornes de gazelles, hum ? Quelques loukoums en sus, allez !
POUDRÉS D'UNE CRASSE (est-ce une allusion à une vieille connaissance fraîchement volatilisée ?)
Quel pied, cette carte postale ! Dommage que je n'y comprenne rien (surtout pas ces "spectrographes carbornisés", qui ne manquent pas d'air)… Ah ! mais peut-être faut-il cliquer sur la photo… ortifs ? rinters ?
Attention, Moons : si Dominique et moi vous accompagnons, nous trois sommes partis pour un an : une équipée malaise passant par le méridien de Greenwich, durant laquelle nous apercevrons peut-être quelques Cherokees et des grandes blondes au piano au bord d'un lac zébré par des éclairs ! Je ne sais ce qu'en diraient Ravel ou Jérôme Lindon : sans doute se prononceraient-ils pour l'occupation des sols…
@ Goerges WF Weaver : n'oubliez pas d'emporter alors une paire de ciseaux et un plat à barbe (vous avez bien dû récupérer quelques accessoires appartenant à votre prédécesseur, en plus de certaines affiches) !
Pas de souci, Dominique : d'une part, si je voyage certes toujours léger, je pourrais toujours emprunter les vôtres puisque vous nous accompagnez. Mais surtout, je suis tellement rasoir que je n'ai nullement besoin d'accessoires de barbier !
Je peux sécher le cours de gym et le remplacer par un option sieste ? :0)
RépondreSupprimerAprès la pluie de ces derniers jours, on ne peut que sécher le cours de gym. Je suggère de le remplacer à l'heure qu'il est par un thé à la menthe et quelques cornes de gazelles, hum ? Quelques loukoums en sus, allez !
RépondreSupprimerCher Frédérique, quelle joie de courir les pieds dans le sable. Mais ici quelle boutaugeoire.
RépondreSupprimerC'est trop injuste !
C'est un steeplechase, avec haie et rivière, le souffle me manque en dépit de la ponctuation ; je patauge dans les ornières du français.
RépondreSupprimerInspire, Frédérique ! Et traduis-moi "boutaugeoire", s'il te plait. Je crois bien que Saravati nous fait son Caliméro.
RépondreSupprimerVoyons, mam' Moons boue(t)augeoire ! Elémentaire, ma chère. Oui, j'avoue Calimero c'est ma masquecotte !
RépondreSupprimerPOUDRÉS D'UNE CRASSE
RépondreSupprimer(est-ce une allusion à une vieille connaissance fraîchement volatilisée ?)
Quel pied, cette carte postale !
Dommage que je n'y comprenne rien (surtout pas ces "spectrographes carbornisés", qui ne manquent pas d'air)…
Ah ! mais peut-être faut-il cliquer sur la photo…
ortifs ?
rinters ?
Mais oui, même si le spectogaphe a bûlé, il faut cliquer !
RépondreSupprimerProchain extrait au tableau vert : "Courir", de Jean Echenoz (Minuit).
RépondreSupprimerOn y parlera de starting-blocks et non de blocks tout courts !
Si c'est comme ça : "Je m'en vais" !
RépondreSupprimerAttention, Moons : si Dominique et moi vous accompagnons, nous trois sommes partis pour un an : une équipée malaise passant par le méridien de Greenwich, durant laquelle nous apercevrons peut-être quelques Cherokees et des grandes blondes au piano au bord d'un lac zébré par des éclairs ! Je ne sais ce qu'en diraient Ravel ou Jérôme Lindon : sans doute se prononceraient-ils pour l'occupation des sols…
RépondreSupprimerC'est parti !
RépondreSupprimer@ Goerges WF Weaver : n'oubliez pas d'emporter alors une paire de ciseaux et un plat à barbe (vous avez bien dû récupérer quelques accessoires appartenant à votre prédécesseur, en plus de certaines affiches) !
RépondreSupprimerQu'en dit Benoît Dehort ?
RépondreSupprimerPas de souci, Dominique : d'une part, si je voyage certes toujours léger, je pourrais toujours emprunter les vôtres puisque vous nous accompagnez. Mais surtout, je suis tellement rasoir que je n'ai nullement besoin d'accessoires de barbier !
RépondreSupprimerVous, rasoir, mon petit George ? Tst, mais non, vous êtes au poil.
RépondreSupprimer"Sur la surface verte de notre imagination, la craie en poudre indique des chemins de fer et de traverses."
RépondreSupprimerBenoît Dehort, "Oeuvres complètes" (Editions du goudron, 2008, tome 42, page 2).
Il y a de belles plumes aux Editions du goudron, me suis-je laissé dire...
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