3 février 2011

Comme une orange

Il suffit d'un coup de plume pour que toute une éducation déraille et s'engage dans des voies que l'on croit férues. Depuis 82 ans, nombre d'aiguillages se sont perdus dans la campagne, faute de couleur.
La terre n'est pas bleue, elle est ronde. Ce qui ne change pas grand chose. La rotondité est affaire de courbes et non de pinceaux à peindre dans les coins.

4 commentaires:

  1. Un coup de plume, un grain d'aile...........

    RépondreSupprimer
  2. Mais je savais bien que vous aviez un blog!! D'ailleurs, je l'ai sous le nez! On se joue des vieux, des illettrés, c'est du joli!!

    RépondreSupprimer
  3. Je ne peux pas vous en dire plus, j'ai une extinction de voix, voilà. Cela dit, je salue l'émouvant aboutissement d'un labeur titanesque dont les racines plongent tout droit dans l'océan secret des sentiments tumultueux qui me secouent jusqu'aux antipodes.
    Vous pouvez vous asseoir auprès de Philippe, la classe est en travaux et je manque de places. Je lui pressens un avenir lettré, à ce petit. Petite mise en garde : un Philippe peut en cacher un autre.

    RépondreSupprimer

Carnet de correspondance