"Le carré de l'hypoténuse est égal à la somme des carrés des deux autres côtés."
Cette phrase comporte plusieurs propositions qui ont des statuts différents : La proposition indépendante
Une proposition qui n'est pas dans un lien de dépendance avec une autre proposition est appelée proposition indépendante "Pythagore s'est peut-être gourré" est une proposition indépendante.
Cette proposition ne dépend d'aucune autre proposition, elle ne contient aucun terme dont dépendrait une autre proposition : c'est donc une proposition indépendante de notre volonté. Surtout si l'on considère que ledit Pythagore est né à Samos, l'île du fromage, ce qui ne le prédestinait pas a faire joujou avec des triangles, hors les quarts de Brie. Encore eût-il fallu qu'il s'en rendît compte.
Cette proposition ne dépend d'aucune autre proposition, elle ne contient aucun terme dont dépendrait une autre proposition : c'est donc une proposition indépendante de notre volonté. Surtout si l'on considère que ledit Pythagore est né à Samos, l'île du fromage, ce qui ne le prédestinait pas a faire joujou avec des triangles, hors les quarts de Brie. Encore eût-il fallu qu'il s'en rendît compte.
La proposition principale
Une proposition qui contient un terme dont dépend une autre proposition est appelée proposition principale.
"Le carré de l'hypoténuse est égal" est une proposition principale car elle contient le verbe "être" dont dépend la proposition "à la somme des carrés des deux autres côtés".
Encore que le verbe être ne soit qu'un auxiliaire, donc un subordonné, auquel cas il faut considérer que la proposition est malhonnête.
C'est à pleurer.
Allez, quartier libre.
"Le carré de l'hypoténuse est égal" est une proposition principale car elle contient le verbe "être" dont dépend la proposition "à la somme des carrés des deux autres côtés".
Encore que le verbe être ne soit qu'un auxiliaire, donc un subordonné, auquel cas il faut considérer que la proposition est malhonnête.
C'est à pleurer.
Allez, quartier libre.
La seule proposition indépendante que je connaisse est la suivante : Dieu existe.
RépondreSupprimerToutes les autres, pour autant que je puisse m'avancer sans trébucher, sont subordonnées (à plein de trucs), ainsi de ces quatre qui, dit-on, constituent les moteurs essentiels de bien des singletons : "Pardon", "S'il te plaît", "Merci", "Je t'aime", sans parler des millions d'autres qui gravitent autour d'eux (les quatre), plus justement qui leur sont inféodés (aux quatre).
Notez, bien que subordonnées, elles (les quatre) n'en sont pas moins principales.
"Dieu existe" serait une proposition primordiale, non référencée dans les manuels de grammaire. Je note.
RépondreSupprimerQuand on sait que Pythagore et ses disciples furent à l'origine de la religion astrale telle qu'on la retrouve dans les dialogues de Platon...on ne peut s'empêcher de lire autrement votre suggestion de "proposition malhonnête"...sourire.
RépondreSupprimerje suis confuse, flattée et ravie !merci Moons
RépondreSupprimerces livres m'impressionnent pour ma première visite....je reviendrai plus reposée et moins émue....
@ Volcane : ne désespérons pas des chiffres. Ni des lettres d'ailleurs... -:)
RépondreSupprimer@ Catherine : flattée ? De quoi, Seigneur ? Reposez-vous, désémouvez-vous et revenez, la porte est ouverte.
"Je prends mon pied" est une proposition indépendante que je subordonne à "à vous lire".. c'est ça, j'ai bien compris ou l'application grammaticale est erronée ? En outre, elle n'est pas malhonnête mais tout à fait sincère.
RépondreSupprimerEt j'm'en vais à la récré.
Toute application grammaticale mise à part, je vous accompagne, allez ! J'ai un sac plein de boules de gommes (et de fraises Tagada, et de nounours, et de pailles remplies de coco, et de coquillages à lécher).
RépondreSupprimerPas de carambars et de malabars ? Pas grave, j'en ai dans ma trousse ! T'en veux ?
RépondreSupprimerOui, oui ! C'est l'amie-temps ! Je viens de retrouver un petit bonbon à la violette et sachet de bêtises.
RépondreSupprimer