Antoine (Marie, Jean-Baptiste, Roger), a passé la journée à dissiper ses petits camarades en dispersant à travers la classe des aéronefs plus lourd que l'air et sans moteur, confectionnés par ses soins au moyen des pages de son carnet de notes (au demeurant maculé de graffiti) et lancés de la base de son pupitre.
Très fier, il a claironné à la récréation qu'un jour viendrait où ces projectiles seraient munis d'un dispositif leur permettant de décoller et de se poser sur l'eau, voire de transporter des lettres.
Je passe sur les cours de dessin, où il décline à l'infini le même animal.
Moi, j'étais le Marcel Dassault de ma classe.
RépondreSupprimerBon baisers de mes vacances.
Le frère du petit Richard, que j'ai bien connu ici même.
RépondreSupprimerIl n'y a pas de timbre à cette carte postale, mais c'est gentil de ne pas oublier la maîtresse pendant vos vacances. A bientôt, mon petit.
Moi, je vidais les stylos bille de leur recharge, je colmatais l'orifice avec une boulette de papier humecté et en soufflant vers le plafond, la boulette projetée s'y collait ! Ça fonctionnait drôlement bien de décliner les boulettes à l'infini. Mais je n'ai jamais réussi à les faire amerrir.
RépondreSupprimerMais ils sont magnifiques ses moutonsses! C'est le Guy Degrenne du carré d'agneau! ou du pull en laine? Euh... suis bien chez Moons ici? Pas fait d'études moi.....
RépondreSupprimerMademoiselle Ard, le businessman propriétaire d'étoiles devrait vous donner la solution.
RépondreSupprimerMonsieur Depluloin, ces moutonsses etai-eunt son dada. Vous avez retrouvé mes cahiers ?
Le petit Antoine manifestait quelque désaccord avec les accords. Il s'empêtrait les pattes dans les singuliers et le pluriel.
RépondreSupprimerCela ne l'empêcha pas de dépecer son cahier jusqu'à la corde et de créer le graffiti aérien ...
Saravati, le petit Antoine, comment vous dire, a une propension à la suspension.
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