Un jardin mesure 35 mètres de longueur sur 8 mètres de largeur. Son périmètre est égal à 43 mètres sur 2 mètres.
Sa surface (déduction faite de ce qui circonscrit le volume occupé et de l'étendue constituant la limite supérieure de la masse) est de 1 mètre carré X 35 X 8, soit 280 mètres carrés (grosso modo). Ce qui, par les temps qui courent, laisse une bonne marge de manœuvre, sachant qu'une salle de classe de 8 mètres sur 7 contient à grand-peine quelques centaines de grammes de mauvaise graine.
Considérant que le jardinier a consommé une bouteille d'un litre de vin qui revenait à 5 euros, que la bouteille vide et le bouchon valaient 0,50 euros, une bouteille qu'il a donc payée la peau des fesses, calculer le demi-périmètre du jardin, le prix du litre avant d'être mis en bouteille et le temps que met le jardinier à rapporter la consigne.
Me manque un paramètre :
RépondreSupprimerQuel vin ?
A cette heure, un dimanche : du vin de messe. Du qui se laisse boire et chatouille le palais, dirai-je au risque de me faire sonner les cloches.
RépondreSupprimerGlas-glas, j'en ai des frissons.
RépondreSupprimerSurtout que la concomitance des deux premières phrases a de quoi surprendre : voilà que 35 x 8 = 43 x 2 !
(Dites, Moons, vous seriez bien aimable de désactiver la vérification des mots pour les commentaires, dans vos paramètres de Blogueur. Là il faut que je tape "sivialk", ce qui me semble particulièrement inepte).
George WF, je comprends fort bien votre perplexité. Je me demande moi-même si l'auteur du problème n'est pas le Tenancier, qui fait le pied de grue devant sa gargote, dans l'attente du retour de sa bouteille vide... Pour pouvoir la remplir derechef et la revendre au jardinier pour l'empêcher de terminer sa tâche. En effet, je me suis laissée dire que c'est le jardinier de sa voisine qu'il exècre et qu'elle a de plus belles tomates que lui.
RépondreSupprimerlaissé, voulez-vous ?
RépondreSupprimerJuste deux remarques :
1) C'est un cas pas cité par les manuels dont je dispose, cette histoire de mesure.
2) "l'empêcher de terminer sa tâche" ? Normal : le rouge, ça tache, tout comme les tomates. Et ça pourrait la fiche mal, sur un caleçon bien repassé…
(Voilà qu'il faut que je tape "besses" ! Mais c'est bien normal, pour George…)
1) Je vous accorde que la règle n'étant pas facile à appliquer, il a été proposé que "laissé" reste invariable lorsqu'il est suivi d'un infinitif.
RépondreSupprimer2) Le jardinier n'est pas suffisamment aviné pour biner en caleçon.
3) J'essaie de remédier à vos problèmes, il ne manquerait plus que vous soyez obligé de taper "fesses". Ce qui nuirait d'une part à la pertinence de vos commentaires et d'autre part à l'orientation de ce blog.
Vrai qu'on appliquait facilement un bon coup de règle sur les doigts, plutôt que sur les fesses… (la règle était facile à appliquer, en ce temps-là) Et on vous intimait cet ordre : "Besses les yeux !"
RépondreSupprimer"Le jardinier n'est pas suffisamment aviné pour biner en caleçon" : le contrepéteur de première que je suis s'incline. Mais je ne faisais qu'évoquer les préparatifs du Tenancier avant d'aller manger de la viande avec Tonton Bruno.
Et toutes blagues ou acrobaties mises à part, merci d'avoir désactivé ce truc !
RépondreSupprimerJe n'y voyais point de contrepéterie, bien qu'amateuse moi-même.
RépondreSupprimerJe n'en décèle moi-même aucune, mais cette phrase en appelle tant ! Ce pourquoi je m'inclinais (et continue).
RépondreSupprimer"La fiction des éléments me donne livide pensée", vous la connaissiez ?
Non. Mais j'en imagine la portée !
RépondreSupprimeret la distance qui sépare le goulot de la bouteille du gosier du jardinier est inversément proportionnelle à la vitesse de pousse des jeunes graines (bonnes ou mauvaises selon que l'on a les yeux clos ou à moitié ouverts)
RépondreSupprimerD'autant que le jardinier a la dalle en pente et le pantalon en tire-bouchon (il commence à confondre les deux, d'ailleurs !).
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